Bonjour Ra,
Quand on fait Torah et mitsvot (bien comme il faut ), plus étude de Torah tsniout et qu’on arrive à découvrir l’amour de D. envers nous, alors on vit !
Mais le premier gagnant, c’est quand même nous même car on a tout à y gagner, car qui mieux que D. pour conseiller l’homme sur son mode de Vie ?
Même quand on fait quelque chose qu’on ne comprend pas, ou bien si quelque chose nous arrive qui n’était pas prévu par nos soins, on sait que D. est bon et que c’est bon pour nous !
Donc dans cette logique, je ne vois pas trop quand je le fais pour D…
Comment savoir si je fais pour moi ou pour D. ?
Car je sais que tout ce qui m’arrive vient de D. et c’est bon pour moi…
Donc je reste quand même le premier à profiter de tout cela !
Donc ce n’est jamais trop lichma….
J’espère que j’ai été Claire,
Merci infiniment pour votre réponse
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Cela est comparable à la relation entre un mari et sa femme.
Les deux s’aiment mutuellement, ils sont très attentionnés l’un envers l’autre et ils agissent ainsi de manière désintéressée, sans rien attendre en retour.
Ils éprouvent même du plaisir à le faire, car ils sont amoureux.
Ils savent pertinemment qu’il y aura un retour, mais ce n’est pas la raison pour laquelle ils font tout cela.
Ils s’aiment sincèrement, tout simplement.
L’amour est leur motivation.
Il en va de même avec Hachem.
Preuve en est que la joie qu’on éprouve lorsqu’on sert Hachem est un ressenti de la néchama et non du corps.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Ils éprouvent même du plaisir à le faire, car ils sont amoureux.
Ils savent pertinemment qu’il y aura un retour, mais ce n’est pas la raison pour laquelle ils font tout cela.
Ils s’aiment sincèrement, tout simplement.
Preuve en est que la joie qu’on éprouve lorsqu’on sert Hachem est un ressenti de la néchama et non du corps.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 80157
Date de création : 2018-01-29 09:21:56
© Leava 2020