Chalom Rav Ron Chaya,
Peut-on parler après que quelqu’un nous ait acquitté par sa berakha ?
Merci Rav pour toutes les réponses que vous me donnez, je vous remercie !
Kol Touv.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Si quelqu’un nous acquitte d’une berakha, par exemple pour celle de boré péri haguéfen lors du kidouch ou pour le motsi, on n’a pas le droit de parler jusqu’à ce qu’on boive le vin ou qu’on mange le pain.
Si on a parlé, on n’aura pas le droit de faire la berakha à nouveau car d’après certains avis, on a malgré tout été acquitté de la berakha de celui qui l’a récitée pour nous.
On entre alors dans un problème très complexe car d’un côté, on n’a pas le droit de manger, mais de l’autre, on n’a pas non plus le droit de faire la berakha à nouveau.
Si on n’a vraiment pas le choix, on mangera, mais auparavant on fera la berakha en pensée.
C’est-à-dire qu’on dira « Baroukh » à voix haute, puis en pensée « Ata Ado-naï Élohénou Mélèkh Haolam » et la fin de la berakha à voix haute.
Le mieux est que quelqu’un d’autre qui n’est pas encore quitte de la berakha nous en acquitte.
Au revoir et bonne journée.
Rav Ron Chaya
On entre alors dans un problème très complexe car d’un côté, on n’a pas le droit de manger, mais de l’autre, on n’a pas non plus le droit de faire la berakha à nouveau.
C’est-à-dire qu’on dira « Baroukh » à voix haute, puis en pensée « Ata Ado-naï Élohénou Mélèkh Haolam » et la fin de la berakha à voix haute.
Le mieux est que quelqu’un d’autre qui n’est pas encore quitte de la berakha nous en acquitte.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 80135
Date de création : 2018-01-28 17:00:00