Bonjour Rav Chaya,
Vous écrivez que une bénédiction sans « Elokenou Melekh Haolam » n’est pas une bénédiction, alors comment se fait-il que les bénédictions de la amida sont comptées en tant que telles alors qu’elles ne devraient pas l’être ?
Merci
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
- Nous avons souvent des séries de berakhot qu’on appelle nismakhoth,
- c’est-à-dire qu’elles sont juxtaposée l’une après l’autre, et aucune d’elles ne commence par Baroukh, si ce n’est la première.
- Et toutes sont en fait la suite du « Baroukh Ata Hachem Elokénou mélèkh haolam » qu’on a dit dans la première berakha.
- Lorsqu’on aura une série de berakhot de ce type, on finira toujours la dernière berakha en disant Amen.
- Ce sera le cas dans la Amida, le Birkat Hamazone, le Hallel, etc.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
- c’est-à-dire qu’elles sont juxtaposée l’une après l’autre, et aucune d’elles ne commence par Baroukh, si ce n’est la première.
- Et toutes sont en fait la suite du « Baroukh Ata Hachem Elokénou mélèkh haolam » qu’on a dit dans la première berakha.
- Ce sera le cas dans la Amida, le Birkat Hamazone, le Hallel, etc.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 72600
Date de création : 2016-09-25 11:03:10