Chalom rav
1) Ma femme est enceinte elle doit accoucher en été.
Concernant le prénom à lui donner nous nous demandions si le fait de lui donner un prénom d’un grand parent va conditionner la personnalité de l’enfant.
En gros si notre fille a le même prénom qu’une de ses grand-mère, est-il possible qu’elle ait les mêmes traits de caractère/ la même personnalité qu’elle.
(Ce que nous ne souhaiterions pas)
2) Par ailleurs, pourriez vous expliquer qui était ‘Hazal ?
Avec ma femme nous écoutons beaucoup de vos cours mais à chaque fois on se demande qui était ‘Hazal.
3) Enfin une autre question, j’ai du mal à comprendre comment Dieu a pu laisser Job être le « souffre-douleur » du Satan.
Encore plein de réussite pour vous et leava, et avec plein d’autres cours sdv.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à vos questions :
- Dans beaucoup de communautés juives, on a l’habitude d’appeler les enfants d’après le prénom de leurs grands-parents.
Certaines communautés agissent ainsi même lorsque ces derniers sont encore vivants, tandis que d’autres le font uniquement s’ils ne sont plus de ce monde.
Dans tous les cas, il est mauvais de nommer un enfant avec le prénom d’un parent qui était mécréant ou qui est mort jeune.
Dans ce dernier cas, il se peut que la raison pour laquelle il est mort jeune soit parce que dans ses précédentes réincarnations, il était un grand fauteur.
Ainsi, il se peut qu’il n’ait pas encore terminé de payer toutes les factures de ses péchés.
Or, si on nomme notre enfant en son nom, il est possible que l’âme de ce parent se réincarne dans notre enfant et que ce dernier doive souffrir ou à nouveau mourir jeune, à D.ieu ne plaise, pour réparer ses propres péchés de ses précédentes réincarnations.
En revanche, si le parent n’est pas mort jeune et qu’il était une bonne personne (pas besoin qu’il soit un grand Tsadik, du moment qu’il n’était pas un mécréant), il est conseillé de perpétuer cette coutume juive, mais ce n’est pas obligatoire.
- ‘Hazal sont les initiales de ‘Hakhaménou Zikhronam Livrakha, c’est-à-dire nos Sages de mémoire bénie.
Il s’agit donc des grands Sages d’Israël.
- Là aussi nous devons avoir recours à la notion de réincarnation.
Job était la réincarnation de Téra’h (le père de Avraham Avinou) qui était un grand leader du mouvement idolâtre.
Il s’est donc réincarné dans le corps de Job afin de réparer ses péchés grâce à ses souffrances.
Avec toute mes bénédictions d’une bonne délivrance pour votre femme.
Pessa’h Cacher vésaméa’h
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Certaines communautés agissent ainsi même lorsque ces derniers sont encore vivants, tandis que d’autres le font uniquement s’ils ne sont plus de ce monde.
Dans tous les cas, il est mauvais de nommer un enfant avec le prénom d’un parent qui était mécréant ou qui est mort jeune.
Dans ce dernier cas, il se peut que la raison pour laquelle il est mort jeune soit parce que dans ses précédentes réincarnations, il était un grand fauteur.
Ainsi, il se peut qu’il n’ait pas encore terminé de payer toutes les factures de ses péchés.
Or, si on nomme notre enfant en son nom, il est possible que l’âme de ce parent se réincarne dans notre enfant et que ce dernier doive souffrir ou à nouveau mourir jeune, à D.ieu ne plaise, pour réparer ses propres péchés de ses précédentes réincarnations.
En revanche, si le parent n’est pas mort jeune et qu’il était une bonne personne (pas besoin qu’il soit un grand Tsadik, du moment qu’il n’était pas un mécréant), il est conseillé de perpétuer cette coutume juive, mais ce n’est pas obligatoire.
Il s’agit donc des grands Sages d’Israël.
Job était la réincarnation de Téra’h (le père de Avraham Avinou) qui était un grand leader du mouvement idolâtre.
Il s’est donc réincarné dans le corps de Job afin de réparer ses péchés grâce à ses souffrances.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 70111
Date de création : 2016-04-13 12:20:13
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