Voici des questions qui je pense en concernent beaucoup d’entre nous au sujet déllicat et profond de notre torah : le prénom !

Chalom Rav,

Voici une question qui je pense en concerne beaucoup d’entre nous.
La question concerne un sujet délicat et profond de notre torah: le prénom.

Voici les questions:

1) Quand précisément les parents possèdent ce niveau de Rouakh Hakodesh permettant leur choix du nom de l’enfant et jusqu’à quand l’ont t-ils?

2) Si les parents donne un nom a l’enfant comme par exemple Benjamin ou Ruben ou Bethsabee et qu’il ont même prononcé comme cela a la circoncision, est ce que nous pouvons dire que nous nous appelons Benyamine ou Reouven ou Bathsheva ou bien impossible car la prononciation et l’essence est différente.

3) Si les parents ont penser à un nom a la naissance et qu’il est pas prononcé a la circoncision par oubli ou autre cause, est il valable encore.

4) Si les parents n’ont penser a un prénom qu’à la circoncision est il valable.

5) si le père a rajouter a la circoncision un prénom sans l’avis de la mère est il valable.

Merci Rav pour vos réponses.

 

Réponse du Rav Ron Chaya : 

Chalom,

 Voici les réponses à tes questions :

  1. Ils ont le niveau du Roua’h Hakodèch lorsqu’ils décident du prénom de leur enfant de façon définitive (attention, le Roua’h Hakodèch ne signifie pas forcément voir le futur, il peut s’agir aussi d’un éclairage divin qui, par exemple dans le cadre du choix du prénom, nous guide dans notre décision).
  2. Les prénoms que vous avez cités sont les mêmes en français ou en hébreu.
  3. Le prénom donné à la Brit-Mila est le véritable prénom de la personne.
  4. Si les parents n’ont pensé à un prénom que lors de la circoncision, celui-ci est valable.
  5. Lors de la circoncision, si le père a ajouté un prénom sans l’avis de la mère, celui-ci est valable.

Au revoir,
Rav Ron Chaya

Agav

 

Référence Leava : 68067
Date de création : 2015-11-17 21:43:46