Chalom,
- Je voudrai savoir si lorsqu’on étudie et que l’on ne comprends pas l’étude est ce que c’est considéré comme si on avait étudié car on a quand même fait la démarche
. - Aussi , je voudrai savoir comment on fait la mitsva du maasser , en quoi est ce si bien , d’où on l’apprend , quelles en sont les récompenses …
- Si l’on a fait la bénédiction sur un aliment ( par exemple un mézonot ) et qu’après on remange un aliment du même type ( un autre mézonot ) on doit refaire la bénédiction ?
- Comment faire téchouva sur une bénédiction en vain involontaire ?
- Enfin , j’ai lu que lorsqu’on a des gaz en ayant les téphilin on est exempt de la mitsva, est ce vrai ?
Que faire dans un tel cas, cela arrive à tous les humain et fait de manière involontaire.
Merci pour tout !
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Eytan,
Désolé pour le retard mais mieux vaut tard que jamais.
Voici les réponses à tes questions :
- Contrairement à d’autres domaines de la vie courante où on ne reçoit rien si on n’obtient aucun résultat, ce n’est pas le cas dans la Torah.
En effet, si on a étudié un sujet et en fin de compte on n’a strictement rien compris, on a malgré tout le mérite de l’avoir étudié.
D’ailleurs, ce mérite peut parfois être encore plus grand car la souffrance de ne pas comprendre accorde davantage de valeur à cette Mitsva.
- A propos du Maasser, consulte les liens suivants.
- Si on récite la bénédiction sur un aliment et que par la suite, on consomme à nouveau de cet aliment, doit-on réciter une nouvelle fois la bénédiction ?
Tu auras la réponse à cette question en consultant les liens suivants.
- Si on a involontairement récité une bénédiction en vain, on prononcera immédiatement après cela :
« Baroukh Chem Kévod Malkhouto Léolam Vaèd ».
Par la suite, on demandera pardon à D.ieu de ne pas avoir fait suffisamment attention à ce qui sort de notre bouche au moment de réciter une bénédiction.
- Lorsqu’on porte les Tefillins, on ne doit pas avoir de flatulences.
Si cela est nécessaire, on se retiendra de toutes nos forces ou on enlèvera nos Tefillins et on pourra se soulager.
Si une personne ne peut pas se retenir ne serait-ce qu’une minute, elle essaiera de mettre les Tefillins moins d’une minute, et si elle ne peut pas se retenir même quelques secondes, alors elle est effectivement désengagée de l’obligation de mettre les Tefillins.
Toutefois, je pense qu’il est très rare qu’une personne ne puisse pas se retenir au moins une minute pendant une journée entière.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
En effet, si on a étudié un sujet et en fin de compte on n’a strictement rien compris, on a malgré tout le mérite de l’avoir étudié.
D’ailleurs, ce mérite peut parfois être encore plus grand car la souffrance de ne pas comprendre accorde davantage de valeur à cette Mitsva.
Tu auras la réponse à cette question en consultant les liens suivants.
« Baroukh Chem Kévod Malkhouto Léolam Vaèd ».
Par la suite, on demandera pardon à D.ieu de ne pas avoir fait suffisamment attention à ce qui sort de notre bouche au moment de réciter une bénédiction.
Si cela est nécessaire, on se retiendra de toutes nos forces ou on enlèvera nos Tefillins et on pourra se soulager.
Si une personne ne peut pas se retenir ne serait-ce qu’une minute, elle essaiera de mettre les Tefillins moins d’une minute, et si elle ne peut pas se retenir même quelques secondes, alors elle est effectivement désengagée de l’obligation de mettre les Tefillins.
Toutefois, je pense qu’il est très rare qu’une personne ne puisse pas se retenir au moins une minute pendant une journée entière.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 67764
Date de création : 2015-10-25 21:07:20