Chalom,
- Quand on fait Bérikh chémé à l’ouverture des portes du hékhal, on peut rester à sa place ou il faut se mettre devant les portes ?
- Quand on a un doute si une personne a 70 ans, on se lève ?
On se lève pour un racha ?
Un goy ?
Merci!
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Sydney,
Voici les réponses à tes questions :
- Quand on fait berikh chémé à l’ouverture des portes du hékhal, on n’est pas obligé de se mettre devant la porte, on peut rester à sa place.
Néanmoins, il est bien d’accompagner le Sefer Torah du hékhal jusqu’à la bima, et aussi du retour de la bima vers le hékhal.
De plus, il y a une mitsva, quand on amène le Sefer Torah du hékhal à la bima d’en voir les lettres, et si possible d’y voir un mot qui commence par la même lettre par laquelle commence notre prénom.
- Quand on a un doute si une personne à 70 ans, on se lève car c’est une mitsva de la Torah, et quand on a un doute à propos d’une mitsva de la Torah, on va lé’houmra (on prend l’avis sévère), d’autant plus que d’après Rabbénou Ha’Ari, on doit déjà se lever devant une personne qui a 60 ans ou plus.
On ne se lève pas pour un racha.
On ne lève pas non plus pour un goy, par contre on l’honorera dans notre façon de parler avec lui, on le soutiendra pour marcher, etc.
(Kidouchin, page 33a ; Choul’han Aroukh, Yoré Déa chapitre 204, alinéa 7).
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Néanmoins, il est bien d’accompagner le Sefer Torah du hékhal jusqu’à la bima, et aussi du retour de la bima vers le hékhal.
De plus, il y a une mitsva, quand on amène le Sefer Torah du hékhal à la bima d’en voir les lettres, et si possible d’y voir un mot qui commence par la même lettre par laquelle commence notre prénom.
On ne se lève pas pour un racha.
On ne lève pas non plus pour un goy, par contre on l’honorera dans notre façon de parler avec lui, on le soutiendra pour marcher, etc.
(Kidouchin, page 33a ; Choul’han Aroukh, Yoré Déa chapitre 204, alinéa 7).
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 34558
Date de création : 2015-03-01 17:31:50