Bonjour rav
1) j’ai une question sur le laps de temps entre lequel je peu refaire une beraha quand j’entend le tonnerre ( שכוחו וגבורתו מלא עולם) vue que en ce moment j’ai souvent l’occasion de la faire j’ai peur de dire une beraha levatala
2) Dans notre parachat hashavoua (vaye’hi) on voi que lorsque yaakov benit les fils de yossef il place sa main droite sur hephraim le plus jeune l’une des raison de rachi est de nous dire que de lui desendra un grand d’israel yeochoua.
Mais cela me pose probleme dans la mesure ou dans ce cas yaakov benit donc son petit fils pskil aura le merite d’avoir un descendant pareille mais d’apres la definition que nous pouvons nous faire d’une beraha l’effet devrais etre inversse ca devrait etre la beraha qui nous donne le merite, la chance d’avoir un tel descendant ou tt autre chose.
c’est ce que l’on voi avec la beraha que yitsrak a fait a ses fils : esav et yaakov et pourtant d’apres le contexte dans lequel a ete fait cette beraha l’avenir n’a pas ete pris en compte (vue que yitsrak se tromper sur l’identité du beneficiaire d’apres le pchat)
voila j’aimerai donc comprendre dans quel mesure la prise en charge du futur du petit fils de yaakov a pu influer sur la beraha de yaakov alor que logiquement l’inversse (la beraha agit sur le futur) serait plus comprehenssible
merci rav de votre consideration
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Steven,
Voici les réponses à tes questions :
1. Le laps de temps pendant lequel on a le droit de faire la berakha lorsqu’on entend le tonnerre est « tokh kédé dibour », c’est-à-dire le temps de prononcer les 7 syllabes suivantes : chalom alékha rabbi ; après cela, on n’a plus le droit de dire la berakha.
Par contre, si on entend à nouveau le tonnerre, on pourra la dire (bien sûr toujours en tenant compte de la limite de temps susmentionnée).
2. Ce n’est pas la berakha qui a entraîné la grandeur d’Éphraïm.
Le Or Ha’haïm Hakadoch explique que qu’au niveau de sa racine d’âme, la réussite de sa tribu existait déjà en potentiel.
Donc Yaakov a posé sa main droite sur la tête d’Éphraïm car il était l’aîné du point de vue potentiel de son âme.
Suivant cette logique, il est normal qu’on mette la main droite sur l’aîné et la gauche sur le cadet.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom Steven,
Voici les réponses à tes questions :
1. Le laps de temps pendant lequel on a le droit de faire la berakha lorsqu’on entend le tonnerre est « tokh kédé dibour », c’est-à-dire le temps de prononcer les 7 syllabes suivantes : chalom alékha rabbi ; après cela, on n’a plus le droit de dire la berakha.
Par contre, si on entend à nouveau le tonnerre, on pourra la dire (bien sûr toujours en tenant compte de la limite de temps susmentionnée).
2. Ce n’est pas la berakha qui a entraîné la grandeur d’Éphraïm.
Le Or Ha’haïm Hakadoch explique que qu’au niveau de sa racine d’âme, la réussite de sa tribu existait déjà en potentiel.
Donc Yaakov a posé sa main droite sur la tête d’Éphraïm car il était l’aîné du point de vue potentiel de son âme.
Suivant cette logique, il est normal qu’on mette la main droite sur l’aîné et la gauche sur le cadet.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 27404
Date de création : 2013-12-12 19:12:09