Chalom,
Tout d’abord, je vous présente, ainsi qu’à votre épouse, mes sincères condoléances pour le décès de votre beau père.
Au début du cours intitulé : »fainéant« , vous expliquez que notre pensée doit être orientée entre chaque phrasé d’une bénédiction.
Pourriez-vous écrire ces 3 phrases auxquelles nous devons penser lorsque l’on dit une ברכה, et comment décomposer cette dernière.
Merci et cordial שלום.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Carmit,
Lorsqu’on dit le nom de D. (Ado-naï) dans la berakha, il faut penser :
Adon ha-kol, Haya Hové Véhyé
c’est-à-dire maître de tout qui était, est et sera.
Lorsqu’on dit Elo-hénou, il faut penser :
Takif, Ba’al ha-yékholèt, ouba’al hako’hot koulam
c’est-à-dire puissant, qui a tous les pouvoirs, et maître de toutes les forces ; vu qu’on dit Elo-hénou et pas Elo-him, il faut aussi penser qu’il exerce une providence spéciale sur nous, ‘Am Israël.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 27361
Date de création : 2013-12-09 17:12:17