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Shalom Rav,
1) J’ai lu dans une question sur zera levatala involontairement qui est survenue pendant shabbat ou kippour , si on n’a pas la possibilité d’aller au mikve pendant chabbat peut se « rincer » avec de l’eau froide la partie qui est sale et passer un peu de savon dessus ?
si oui il est possible de faire cela shabbat et yom tov en t-il de meme pour kippour ?
2) je connais quelqu’un qui a perdu son talit le jour de kippour (quelqu’un a du lui prendre par inadvertance) mais a la fin de kippour cette personne (qui a perdu son talit) a vu un talit sur un siege qui ressembalit au sien (bien que ne soit pas le sien ,il a pris ce talit) ma question est la suivante :
cette personne (qui a perdu son talit) a pris ce talit(trouvé) peut t-il l’utiliser ?( car si il a pris avant le yeouch du proprietaire c’est problematique il a fait un guezel mais aujour’d’hui cette personne a du completement faire yeouch car c’est sur quelle ne retrouvera pas son talit( vu que c’est la personne que je connais qui le possede) .
donc peut t-il l’utiliser aujourd’hui ?
3) Par rapport a souccot est-ce que un sefarade ou ashkenaze peut utiliser n’importe quelle varieté de etrogue( calabre,maroc,israel ou autre)?
Merci Rav
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à tes questions :
1) A Kippour comme à Chabbat ou Yom Tov, on pourra se laver cette partie à l’eau froide, mais sans savon.
2) Il peut l’utiliser.
3) On peut utiliser toutes variétés d’étrog ; l’essentiel est que ce soit un étrog qui n’a pas été croisé avec une autre espèce d’arbres fruitiers.
Or, il y a de fortes suspicions que les étrog ashkénazes qu’il y a en Israël soient le fruit d’arbres qui ont été croisés, c’est pour cela que les grands rabbanim sépharades en Israël (et nous aussi à leur instar) préconisent d’acheter des étrog yéménites où le risque de croisements est beaucoup beacoup plus faible.
A propos des étrog marocains, un temps on disait que ceux qui provenaient du sud du Maroc n’étaient certainement pas croisés car les technologies agricoles de croisement leur étaient inconnues dans ces régions ; cela était valable il y a 20 ou 30 ans, je ne sais pas ce qu’il en est aujourd’hui…
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Voici les réponses à tes questions :
1) A Kippour comme à Chabbat ou Yom Tov, on pourra se laver cette partie à l’eau froide, mais sans savon.
2) Il peut l’utiliser.
3) On peut utiliser toutes variétés d’étrog ; l’essentiel est que ce soit un étrog qui n’a pas été croisé avec une autre espèce d’arbres fruitiers.
Or, il y a de fortes suspicions que les étrog ashkénazes qu’il y a en Israël soient le fruit d’arbres qui ont été croisés, c’est pour cela que les grands rabbanim sépharades en Israël (et nous aussi à leur instar) préconisent d’acheter des étrog yéménites où le risque de croisements est beaucoup beacoup plus faible.
A propos des étrog marocains, un temps on disait que ceux qui provenaient du sud du Maroc n’étaient certainement pas croisés car les technologies agricoles de croisement leur étaient inconnues dans ces régions ; cela était valable il y a 20 ou 30 ans, je ne sais pas ce qu’il en est aujourd’hui…
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 25853
Date de création : 2013-08-27 08:08:26