Chalom Rav Chaya !
j’habite a Paris mais parfois quand je vois la beauté du ciel, des coucher de soleil et j’en passe, je ne peu que remercier D.ieu de m’offrir ce spectacle, et des endroit plus spectaculaire que Paris il y en a beaucoup et certains don je n’imagine même pas la splendeur !
D’une certaine manière c’est aussi une façon , pour ma part en tous cas, d’aimer un peux plus D.ieu et de réaliser sa grandeur !
Ma question est donc la suivante :
Se réaliser par l’étude et la pratique de la torah est-il contraire au fait de voyager et de pouvoir contempler le chef d’oeuvre que nous offre D.ieu , et je dirai même , cela pourrait-il être perçu " comme une mitsva " dans le sens large du thermes bien sur !?
Merci d’avance pour votre réponse.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Nissim,
Le Rambam écrit dans Michné Torah hilkhot Yéssodé haTorah chap.2 alinéas 1 et 2 :
«
Ce D.ieu digne de respect et de crainte, il y a une mitsva de L’aimer et de Le craindre, comme il est écrit :
« tu aimeras l’Eternel ton D.ieu » et « Aie la crainte de l’Eternel ton D.ieu ».
Quelle est la voie pour accéder à Son amour et à Sa crainte ?
Au moment où l’homme contemplera Ses actions, Ses créatures extraordinaires et grandioses et en verra la sagesse au-delà de toute valeur et de toute limite, immédiatement il aime, loue, exalte et est pris d’une grande envie de connaître Son grand nom.
Comme a dit le roi David (Téhilim chap.42 verset 3) :
« Mon âme a soif de D.ieu, du D.ieu vivant », et quand il est en train précisément de penser à ces choses, immédiatement il se retire en arrière et est pris de crainte et de peur, sachant qu’il est qu’une créature petite, obscure, basse, ayant une conscience légère et minime devant Le Possesseur de la conscience parfaite.
Comme a dit le roi David (Téhilim chap.8 verset 4) :
« Lorsque je contemple Tes cieux, œuvres de Ta main, la lune et les étoiles que Tu as formées, qui est donc l’homme que Tu penses à lui »
».
Fin de citation des paroles du Rambam.
Donc il est clair qu’il y a en cela une mitsva.
Néanmoins, il faut bien faire attention qu’elle ne nous fasse pas faire de bitoul Torah.
Il faudra donc trouver le juste équilibre entre certains moments destinés à la contemplation des œuvres de D.ieu pour éveiller en nous Son amour et Sa crainte et le reste du temps y arriver par l’étude assidue de la Torah.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom Nissim,
Le Rambam écrit dans Michné Torah hilkhot Yéssodé haTorah chap.2 alinéas 1 et 2 :
«
Ce D.ieu digne de respect et de crainte, il y a une mitsva de L’aimer et de Le craindre, comme il est écrit :
« tu aimeras l’Eternel ton D.ieu » et « Aie la crainte de l’Eternel ton D.ieu ».
Quelle est la voie pour accéder à Son amour et à Sa crainte ?
Au moment où l’homme contemplera Ses actions, Ses créatures extraordinaires et grandioses et en verra la sagesse au-delà de toute valeur et de toute limite, immédiatement il aime, loue, exalte et est pris d’une grande envie de connaître Son grand nom.
Comme a dit le roi David (Téhilim chap.42 verset 3) :
« Mon âme a soif de D.ieu, du D.ieu vivant », et quand il est en train précisément de penser à ces choses, immédiatement il se retire en arrière et est pris de crainte et de peur, sachant qu’il est qu’une créature petite, obscure, basse, ayant une conscience légère et minime devant Le Possesseur de la conscience parfaite.
Comme a dit le roi David (Téhilim chap.8 verset 4) :
« Lorsque je contemple Tes cieux, œuvres de Ta main, la lune et les étoiles que Tu as formées, qui est donc l’homme que Tu penses à lui »
».
Fin de citation des paroles du Rambam.
Donc il est clair qu’il y a en cela une mitsva.
Néanmoins, il faut bien faire attention qu’elle ne nous fasse pas faire de bitoul Torah.
Il faudra donc trouver le juste équilibre entre certains moments destinés à la contemplation des œuvres de D.ieu pour éveiller en nous Son amour et Sa crainte et le reste du temps y arriver par l’étude assidue de la Torah.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 24259
Date de création : 2013-05-16 23:05:33