Shalom Rav
1) J’ai entendu plusieurs discussions sur le fait de se prosterner ou non à "barehou ete…" et je voudrais avoir une réponse définitive s’il-vous-plaît.
2) Il m’est déjà arrivé plusieurs fois de mettre mon talit gadol avant de lire les brakhot du matin, faut de concentration.
Peut-on tout de même les lire (car dans différents sidours -patath eliaou, la délivrance- et en suivant l’ordre chronologique, on doit mettre le talith et les tefilines après les brakhot) ?
3) Ma soeur attend un garçon et ma mère voudrait connaître le prénom.
D’où vient le fait d’attendre la brit mila pour annoncer le prénom du bébé ?
Peut-elle nous le dire avant ?
Merci de vos réponses.
En espérant vous re-voir lors du gala bezraat Hachem.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à tes questions :
1) Consulte ce lien pour avoir la réponse à ta question.
2) A priori, on fera les berakhot du matin, et ensuite, on mettre le talith gadol, mais a posteriori, si on a déjà mis le talith gadol, on devra ensuite lire les berakhot.
Idem pour les tefillin.
Ce n’est que si on a déjà fait la Amida qu’on ne pourra pas dire deux berakhot :
– a) Elokaï néchama : car on a déjà été rendu quitte de cette berakha par « mé’hayé hamétim » de la Amida ;
– b) Bircot haTorah : parce qu’on en a déjà été rendu quitte par « Ahavat Olam ».
3) Votre sœur à le droit de ne pas annoncer le prénom du bébé jusqu’à la brit mila, bien que cela ne soit pas interdit par la Torah.
On ainsi d’habitude pour ne pas trop subir de pressions familiales (ou autres…).
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom,
Voici les réponses à tes questions :
1) Consulte ce lien pour avoir la réponse à ta question.
2) A priori, on fera les berakhot du matin, et ensuite, on mettre le talith gadol, mais a posteriori, si on a déjà mis le talith gadol, on devra ensuite lire les berakhot.
Idem pour les tefillin.
Ce n’est que si on a déjà fait la Amida qu’on ne pourra pas dire deux berakhot :
– a) Elokaï néchama : car on a déjà été rendu quitte de cette berakha par « mé’hayé hamétim » de la Amida ;
– b) Bircot haTorah : parce qu’on en a déjà été rendu quitte par « Ahavat Olam ».
3) Votre sœur à le droit de ne pas annoncer le prénom du bébé jusqu’à la brit mila, bien que cela ne soit pas interdit par la Torah.
On ainsi d’habitude pour ne pas trop subir de pressions familiales (ou autres…).
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 22295
Date de création : 2013-01-21 11:01:43