Je sais que rien ne vaut l’étude mais que devons-nous faire pour préserver l’unité au sein de notre peuple?

Chalom,

Vous savez rav j’assiste de plus en plus à de cours de Tora,guémara etc.,et plus je me plonge dedans et plus je me rends compte de la grandeur et de la richesse de notre Tora. Quand je me dis que je veux faire une partie armée et une partie d’étude , je sais très bien que rien absolument rien ne vaut l’étude de la Tora,mais je me pose la question si l’unité du peuple n’est pas aussi importante ,pour pouvoir emmener Machiah,j’ai l’impression que nous arrivons à un contexte ou bientôt les Hilonims vont se montrer violent contre ceux qui respectent la Tora,je vous ai raconté il y a quelques semaines le déferlement de haine que m’a montrer ma propre famille à mon égard pour avoir voulu m’opposer au mariage mixte d’une de mes cousines.

Quand je constate les causes de la destruction du Bet Hamikdach,ou la raison de la mort des éléves de Rabbi Akiva,je me demande ce que moi en tant que Juif religieux ,je dois faire pour ramener l’unité au sein de notre peuple.Je pense souvent à ca,vous dites qu’il vaut mieux qu’ils nous haissent,que de négliger l’étude de Tora, je suis bien entendu tout à fait d’accord avec vous concernant l’importance du limoud Tora,mais j’ai un doute concernant notre part pour faire l’unité. ;
Je ne sais pas si vous comprenez ce que je veux dire ?

C’est pourquoi je me suis senti proche des pensées du Rav Amsalem.Mais si ce n’est pas la bonne solution,qu’elle est-elle alors ? Que répondrons nous au tribunal céleste s’il nous demande ce que nous avons fait pour ramener nos frères à revenir à la Tora ? Je n’ai pas de réponse à ca,n’y a-t-il pas de néchamots à sauver à Tel Aviv ? je crois que le nœud du problème est là ,savoir dialoguer et leur faire comprendre ce qui fais notre essence ,notre adn en tant que peuple. Ils ont une vue complètement biaisée de ce que sont les gens de Tora. Mais n’avons-nous pas une part de responsabilité,à ce fait.le problème de l’armée ,n’est que la partie visible de l’iceberg.

Kol touv et Hag saméah