shalom Rav,
1/je travaille en Israel dans une boite non pratiquante – je vois que la mezouza dans l’entree de mon espace de travail ( je n’ai pas de bureau personel ) n’est pas bien place et je doute que le parchemin sois cacher.
suis-je dans l’obligation de faire qq chose. ou est ce que c’est pas grave pour moi vu que ce n’est pas chez moi.
2/ que dis la Thora a propos de bebes qui naissent avec un moum ( bec de lievre par example ) est ce un tikoun?
pour l’enfant ou pour la mere ?
3/ au point de vue halaha decisionnaires ashkenaze , peux t-on faire la srikat maarahot a la 22 em semaine de grossesse ( je ne connais pas le terme en francais )
4/ j’ai entendu dire qu’il y a une guemara qui dit que la nechama avant de desendre passe par plusieurs etapes ou on lui dit tu sera riche ou pauvre, etc… etc…
pouvez vous me donner la source ??
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à vos questions :
1. Il y a une divergence d’opinion chez les décisionnaires pour savoir si un magasin ou un bureau doit avoir une mézouza à sa porte, c’est pourquoi la halakha fixe qu’on placera les mézouzot à ce type d’endroit sans berakha.
Dans votre cas, je pense que cela vaut la peine d’en toucher un mot à la direction, s’ils écoutent votre requête tant mieux, sinon tant pis.
2. La Torah ne parle pas clairement de bébés qui naissent avec un moum, c’est-à-dire avec un défaut physique, mais il est clair que c’est un tikoun, et pour eux et pour leur entourage.
3. Du point de vue de la halakha, dans la sekirat maarakhot, on ne fait que l’ultrason mais pas de ponction du liquide amniotique.
4. La Guémara dans le traité Nida page 16B écrit :
L’ange préposé à la grossesse s’appelle « Laïla », il prend la goutte et la présente devant Le Saint béni soit-Il et Lui dit :
Seigneur du monde, qu’adviendra-t-il de cette goutte ? Sera-t-elle forte ou faible ? Sage ou imbécile ? Riche ou pauvre ?
Mais il ne pose pas la question si elle sera juste ou impie, comme l’a dit Rabbi ‘Hanina : « Tout dépend du ciel sauf la crainte du ciel ».
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom,
Voici les réponses à vos questions :
1. Il y a une divergence d’opinion chez les décisionnaires pour savoir si un magasin ou un bureau doit avoir une mézouza à sa porte, c’est pourquoi la halakha fixe qu’on placera les mézouzot à ce type d’endroit sans berakha.
Dans votre cas, je pense que cela vaut la peine d’en toucher un mot à la direction, s’ils écoutent votre requête tant mieux, sinon tant pis.
2. La Torah ne parle pas clairement de bébés qui naissent avec un moum, c’est-à-dire avec un défaut physique, mais il est clair que c’est un tikoun, et pour eux et pour leur entourage.
3. Du point de vue de la halakha, dans la sekirat maarakhot, on ne fait que l’ultrason mais pas de ponction du liquide amniotique.
4. La Guémara dans le traité Nida page 16B écrit :
L’ange préposé à la grossesse s’appelle « Laïla », il prend la goutte et la présente devant Le Saint béni soit-Il et Lui dit :
Seigneur du monde, qu’adviendra-t-il de cette goutte ? Sera-t-elle forte ou faible ? Sage ou imbécile ? Riche ou pauvre ?
Mais il ne pose pas la question si elle sera juste ou impie, comme l’a dit Rabbi ‘Hanina : « Tout dépend du ciel sauf la crainte du ciel ».
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 10529
Date de création : 2012-11-26 09:11:58
© Leava 2020